Amnesty International réclame que les autorités chinoises libérent la trentaine de citoyens actuellement détenus, pour avoir «utilisé l’internet pour exprimer pacifiquement leur opinion ou partager des informations»
Trois d’entre elles seraient décédées en cours de détention, précise Amnesty, et l’opacité règne quant aux sanctions et aux sorts de beaucoup d’autres.
La peine la plus sévère a été prononcée à l’encontre de Li Dawei, un ancien officier de police, condamné à 11 ans de prison pour avoir téléchargé des articles sur la démocratie.