Bon alors j’étais parti avec un a priori négatif, du fait de mon visionnage précédent de Gundam Wing. Il existe beaucoup de séries Gundam, mais elles n’ont souvent en commun que le thème ed la guerre et les robots borurés à craquer d’armes. Gundam SEED n’échappe pas à la régle
L’histoire débute sur Heliopolis, une colonie spatiale d’Orb, une nation qui se veut totalement neutre face à la guerre perpetuelle entre L’Alliance Terrestre et PLANT. PLANT est une communauté de gens appelés Coordinators, qui sont en fait des humains modifiés génétiquement à leur naissance. Ils regardent de haut les Naturals, les habitants de la terre en gros, qui eux semblent être jaloux de leurs confrères génétiquement modifiés, qui sont plus habiles partout et font tout mieux que tout le monde.
On suit donc le début de Kira Yamato, ainsi que de ses amis Tolle, Mili, Frey et Sai, de jeunes étudiants en sciences comme les autres. Sauf que voilà, Héliopolis va être attaquée, et Kira va tomber sur plusieurs armures mobiles (des Gundam) développés en secret par Orb et l’Alliance Terrestre afin de contrer ZAFT, l’armée de PLANT. Il arrive au moauvais moment en fait, car plusieurs de ces armures vont être dérobées par des agents de ZAFT, dont l’un n’est autre que son ami d’enfance Asuran.
Il va se retrouver impliqué, ainsi que tous ses amis, par le lieutenant-capitaine Maryu Ramias, une belle jeune femme qui va les entraîner dans sa fuite d’Heliopolis a bord de l’Archangel, vaisseau de combat spatial aussi développé par l’Alliance. Bilan: 1 GUNDAM pris par l’alliance, 4 pris par ZAFT. Ca commence très mal pour nos amis…
Voilà un peu pour le résumé du début.
Je ne peux pas en dire plus, car l’histoire se suit aveuglément épisode par épisode, et c’est un plaisir que de dévorer chacun d’entre eux. Il y a beaucoup de personnages mais qui ont chacun leur petit truc charismatique. En gros l’anime mèle combats spatiaux à bord de robots et de vaisseaux, amour, guerre, amitié, sang et larmes… bref, un cocktail explosif, avec de la bonne 2D comme on en fait plus, des musiques superbes, des personnages attachants et bien doublés, bref, que du bonheur.
Il y a 50 épisodes, l’essayer, c’est s’exposer à ne plus avoir de vie sociale pendant une semaine à force de mater tou sles épisodes.
Note: 17/20
AxelT-certified