Oh vous, si belles dans votre ecrin, du soir au matin,
Vous vous montrez d’ un bel atout, vu de loin,
Comment ne pas pensez a vous, ennervé ou serein,
Toujours vous m’acceptez, toujours vous prennez soin…
On vous remplit avec amour, on vous déboit nos liqueurs,
Malade ou en forme, nous créons des formes à nos humeurs,
A en croire le fond de vos pensées, on vous dit froid et noir,
Mais je sais bien que vous nous aimées, quand on broie du noir…
Molle, fine, ronde, coulante, compacte, cubique,
Vous nous embrassées quoique celà implique,
Que l’on vous saoule ou que l’on vous fasse rire,
D’un mouvement, vous oubliez tout d’un coup de tire,
Vomis, pets de souris, coulis, jamais celà ne vous ennuie,
Ah mes toilettes, ce que je vous aime quand je vous remplis…
Moralité: c’est pas parceque coyote est poète, que l’histoire semble belle,
que les vers où qu’on les trouvent sont forcemment jolis…
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